chelsea

Mourinho dit bye bye à Chelsea

José Mourinho n'est plus l'entraîneur de Chelsea. Comme nous l'indiquions, jeudi matin, très tôt, le coach du club londonien a quitté ses fonctions. « C'est une décision qui a été prise d'un commun accord », a confirmé, jeudi, le club sur son site. « Le Chelsea Football Club et José Mourinho ont accepté de se séparer d'un commun accord», peut-on lire sur le même site.


Le correspondant de la BBC à Stamford Bridge, Jonathan Legard, assurait, dès mercredi soir, que le manager portugais avait informé les cadres de son groupe. Il citait notamment le capitaine John Terry. The Times parlait, quant à lui, d'un coup fil à Franck Lampard et d'un total de cinq joueurs placés dans la confidence. Sky Sports, pour sa part, assurait que la nouvelle lui avait été confirmée par l'un d'entre eux.


Une orageuse conversation avec Roman Abramovitch dans la nuit suivant le match de Rosenborg aurait scellé la fin du mandat du Special One. José Mourinho est arrivé à Chelsea en juin 2004, remportant en trois saisons deux titres de champion (2005, 2006), la Cup (2007), la Coupe de la Ligue (2005, 2007) et le Comunity Shield (2005). La saison dernière, il avait dû lutter pendant de longues semaines contre des rumeurs de départ imminent, dues à de fortes luttes d'influence en interne, qui lui étaient de plus en plus défavorables.


Son style de jeu et ses résultats en Ligue des champions (deux demi-finales en 2005 et 2007) irritaient le propriétaire russe du club londonien et son Board, qui se serait réuni - en urgence - mercredi.


Chelsea a laissé filer 7 points en six journées de championnat depuis le début de la saison, concédant notamment une défaite à Aston Villa (2-0) et un nul devant Blackburn (0-0) lors des deux dernières journées. Mourinho est lié à Chelsea par contrat jusqu'en 2010, à raison de 5,2 millions de livres par saison (7,1 millions d'euros).

Le club anglais de Chelsea a désigné jeudi Avram Grant pour remplacer José Mourinho au poste d'entraîneur. Grant sera assisté de Steve Clarke.



Avram Grant (51 ans) est le successeur de José Mourinho. Ancien directeur technique de Portsmouth, ancien sélectionneur national d'Israël et ami proche de Roman Abramovich, Grant était arrivé cet été à Chelsea .

donc si plus mourinho, dd a l'OM

et il peu meme prend morinhon ds ses valises :lol:

shuricane666 a écrit:

et il peu meme prend morinhon ds ses valises :lol:

ouai mourinho a l'OM

et lampard tant ko y est mdr

je crois que c'est comme le reste on peux arreter de rever ....

magic waddle a écrit:

je crois que c'est comme le reste on peux arreter de rever ....

oui nos reves tombent tjs a l'eau

vive la déprime lol

«Avec son endettement, Chelsea ne pourrait pas jouer en Ligue 1 !»

Franck Fife AFP ¦ Le président de la Ligue de Football Professionel, Frédéric Thiriez, présente l'appel d'offres pour les droits audiovisuels de la Ligue 1, le 30 novembre 2007 à Paris

Plutôt à l’aise, Frédéric Thiriez. Le président de la Ligue de football professionnel a reçu 20 Minutes pour faire le point sur la très prochaine négociation des droits télés de la L1. »[Mise à jour 18h55: L'interview a été réalisée à 11h, avant que Canal+ ne saisisse le Conseil d'Etat pour lui demander de suspendre l'appel d'offres... ]. Mais ce fut aussi l'occasion d’aborder les autres sujets brûlants du ballon français.

A l’approche de la négociation des droits télé de la L1, on a vu naître, sous l’impulsion de Jean-Michel Aulas, l’association «Football avenir professionnel (FAP). Vous êtes resté très discret sur le sujet. Qu’en pensez-vous?
C’est à mon sens une affaire interne à l’UCPF (le syndicat des clubs pros) et, donc, pas mon problème. La question est celle d’un système solidaire, et la solidarité en terme de répartitions des droits est un exercice toujours difficile. Mais franchement, on ne peut pas parler d’une «association de grands clubs» quand l’OM, Saint-Etienne et même Nantes n’en font pas partie. Tout ça, c’est de l’écume et ça me laisse de marbre.

La finalité de cette démarche ne vous inquiète pas?
Si c’est remettre en cause la centralisation des droits et le principe de solidarité, je me mettrais en travers. Et le gouvernement aussi. C’est une démarche à contretemps de l’histoire. Tous les pays d’Europe reviennent à la vente centralisée. Le championnat anglais, qui est le plus riche et le plus important, a même un système plus centralisé et solidaire que le nôtre.

Le modèle anglais est donc votre modèle?
Mon rêve, c’est que tout le monde puisse aller au stade en famille. La seule chose que je réfute dans le modèle anglais, c’est la sélection par l’argent. Je suis pour maintenir une politique de prix bas, afin de préserver l’aspect populaire du foot. Mais pour le reste, autant pour l’importance du montant des droits TV que pour la prise en main sécuritaire autour des stades, oui, l’Angleterre est un modèle.

Un an après la mort de Julien Quemener, quel bilan tirez-vous des lois promulguées et estimez-vous que la lutte contre le racisme est performante?
Ce drame a permis la généralisation des interdictions de stades par le Préfet. Mais il n’y en a eu qu’une centaine de prononcées, ce qui n’est pas encore assez. Je suis sur une ligne totalement répressive sur le sujet, car ce sont les mêmes mecs qui s’organisent des «fights» hors des stades et qui font ensuite le salut nazi dedans. La France est le premier pays à avoir sanctionné sportivement un club à cause des insultes racistes de ses supporters [Bastia qui a perdu un point au classement de L2, ndlr]. Mais le vrai chantier, c’est autour des stades qu’il va avoir lieu.


C’est-à-dire?
On est les derniers en Europe à jouer le soir. Dès la saison prochaine, il y aura six matchs le samedi à 19h et deux le dimanche à 15h. Il n’y en aura plus que deux à 21h. La France a aussi un besoin vital de rénovation de ses stades. Actuellement, la billetterie n’occupe que 15% des recettes d’un club, contre plus de 50% aux droits télés. Je voudrais qu’on arrive à 25%, essentiellement en faisant un effort sur les espaces VIP. Car il y a une demande pour ce type de structure. Et si les gens sont prêts à payer, il faut en profiter.

Comment expliquez-vous ce déficit d’infrastructures?
Les stades sont encore pour une grande majorité des propriétés municipales. Et il est normal que les collectivités ne veulent plus payer pour financer leur rénovation, dans la mesure où les clubs sont devenus des sociétés privées. Et hormis le Stade de France, qui n’est pas un stade de foot et qui n’accueille aucun club, pas une seule enceinte dans l’Hexagone ne peut accueillir une finale de Ligue des champions. Mais je suis optimiste. Il y a aujourd’hui, sur les 40 clubs professionnels, 13 projets de nouveaux stades en chantier ou qui sortent des cartons. Ce qui représente 1,5 milliard d’investissement. Et puis il y a la candidature française à l’Euro 2016 qui peut permettre d’achever ce travail…

Cette modernisation des stades entraîne des initiatives comme le «naming» ou l’entrée en bourse…
Je suis très pour. La salle Pleyel ou la salle Gaveau, c’est du «naming» et ça date d’il y a plus d’un siècle. Il faut comprendre que nous avons des obligations de financements privés. Pareil pour la bourse. Le bilan boursier de Lyon est positif. Les performances de l’action sont ce qu’elles sont, mais cela a permis de lever des fonds pour un futur stade. Je n’ai jamais dit que c’était la panacée. Seulement un des moyens de parvenir à dégager des profits et donc d’améliorer les infrastructures. Après, c’est une décision de chef d’entreprise, et c’est à chaque club de voir. Il faut aussi qu’il y ait une harmonisation européenne des règles régissant le football.

Vous avez écrit un texte intitulé «Oui à l’Europe du sport». Le foot est-il vraiment un enjeu communautaire?
Plus que jamais. Avec la ratification du traité de Lisbonne, va être consacrée la reconnaissance du sport comme compétence européenne. Tout tient en une phrase: «notre action vise à promouvoir l’équité des compétitions». Et ça, ça change tout, car cela s’accompagne d’une prise de conscience générale chez nos voisins européens. Les Anglais sont proches d’adhérer à notre vision du foot, car ils en ont marre de Chelsea! Avec 250 millions d’euros d’endettement, le club serait interdit de L1. Le contexte est favorable pour imposer notre vision, avec Platini à la tête de l’UEFA et la présidence française de l’Union en 2008. Il se passera des choses à ce moment, j’en suis sûr. On y travaille déjà avec Roselyne Bachelot.

Nicolas Anelka signe à Chelsea

Fin du suspense. Anelka rejoint enfin un club digne de son statut.

Skysports indique que Nicolas Anelka a signé aujourd’hui un contrat jusqu’en 2012 avec Chelsea. Les négociations duraient depuis la semaine dernière et tout était prévu pour que la nouvelle tombe aujourd’hui.

Le montant du transfert devrait être de l’ordre de 20 millions d’euros et l’attaquant international toucherait un salaire de 118 000 € par semaine.

Chelsea : 99 M€ de pertes !

Quatrième au classement des clubs les plus riches au monde avec 283 millions € (ceux ayant généré le plus de revenus en 2007), Chelsea reste néanmoins un club en situation de déficit.

Hier, le club anglais a annoncé des pertes s’élevant à 99 M€ pour la saison 2006-2007. Cependant, Le résultat de ce déficit est moins important que celui des deux exercices précédents (106 M€ et 185 M€), avec une diminution de l’ordre de 7 %.

Le directeur exécutif des Blues Peter Kenyon, espère parvenir à une situation d’équilibre lors de la saison 2009-2010.

Le chiffre d’affaires de Chelsea lui, connaît une hausse substantielle de 50 M€ par rapport à 2005-2006, le résultat annoncé étant : 252 M€.

Les différentes sources de ces revenus sont issus du sponsoring (+ 89 %) et de ceux générés par les résultats de l’équipe (+27 %, victoires en Coupe d’Angleterre, en Coupe de la Ligue et demi-finale de la Ligue des champions).

Chelsea veut garder Drogba et Lampard, le peut-il ?

En marge de la finale de la Coupe de la Ligue anglaise disputée et perdue hier par Chelsea face à Tottenham (1-2), le directeur des Blues Peter Kenyon a affirmé que son club avait l’intention d’user de tous ses moyens pour conserver Frank Lampard et Didier Drogba la saison prochaine.

Le contrat de l’international anglais s’achève en juin 2009, tandis que le second a émis le souhait de partir depuis le mois d’octobre dernier, juste après le licenciement de José Mourinho.

Si l’éventualité de rester chez les Blues paraît plus probante pour Lampard, qui a affirmé encore récemment « Je ne veux qu’une chose, c’est terminer ma carrière à Chelsea. Tout le monde autour de moi sait à quel point j’aime ce club. Après ma famille, Chelsea est tout pour moi. C’est le club de ma vie », le dossier Drogba semble plus délicat. Depuis son retour de la CAN, l’Ivoirien a décidé de ne plus communiquer sur le sujet, mais avant cela il n’a pas cessé de marteler que son avenir serait à Milan ou à Barcelone.

Pourtant, Kenyon n’en démord pas, et reste convaincu de parvenir à ses fins « Frank a dit qu’il voulait rester. Nous avons décidé en début de saison de ne commencer les négociations qu’à la fin de cet exercice. C’est un grand joueur et nous voudrions qu’il termine sa carrière chez nous. Il lui reste deux ans de contrat. Il n’y a donc aucune raison pour qu’il ne reste pas un joueur de Chelsea ».

Franck Lampard intéresse la Juventus et Barcelone. Didier Drogba plaît beaucoup à l’AC Milan, qui cherche un remplaçant à Ronaldo blessé.